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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 20:40
Le copain de Sarkozy est en fait un ami lointain, pour ne pas dire un lointain ami. Parce que quand on regarde ce qui s'est passé ces derniers jours, on constate que le soutien à Bush lui est sans doute resté en travers de la gorge. Et il n'y a sans doute pas que cela.

Merci à Chimulus

La vérité est là : Obama s'est bien payé la tête du gesticulateur précoce et l'a ignoré d'une manière plus que visible.

Merci à Philippe Tastet

En cela il ne fait que continuer à lui montrer son importance sur la scène internationale : une petite crotte qui bouge beaucoup en fonction du vent.

Merci à Chimulus

Regardez cette petite vidéo qui montre un Obama qui ne voit pas Sarkozy (volontairement !). Lequel a bien du mal à s'en remettre. Au fait c'est du Chewing Gum qu'il mâche ?






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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 21:17
Le petit est fou de rage parait-il. La raison de cet énième accès de colère qui ressemble à celle d'un enfant privé de son train éléctrique ?

Obama, le grand président américain, a décidé de l'ignorer superbement et, en quelque sorte, de refaire l'éducation négligée de celui qui veut à tout prix être "son copain".


Un peu comme sur la cour de récré ou le plus chétif cherche par tous les moyens à se mettre dans l'ombre de la force tranquille ou la brute épaisse qui règne sur les chocos BN et les billes.

Merci à Bauer

Obama a envoyé un courrier au président de la république ... Jacques Chirac. Ce n'est pas qu'il n'a pas été informé de l'élection d'un mauvais casting, mais il a voulu de la sorte envoyer un message presque pas crypté au locataire fainéant de l'Elysée. Un  message pas très loin du casse toi riche con.

Merci à Tropical Boy

Sarkozy trépigne depuis au moins deux mois pour être sur la photo avec quelqu'un d'important. Histoire de la ramener un peu plus et de prétendre être quelqu'un.

Merci à  Photo en Délire

Il a fait le même coup à Bush, ravi d'avoir encore un politique étranger accepter de poser à ses côtés. Fut il monté sur une valise ou un tabouret pour ne pas paraître petit.

Merci à Bar

Certain qu'avec cette belle preuve d'amour d'Obama, Sarkozy ne va pas regretter d'avoir baissé le pantalon devant l'OTAN.

Merci à Bar

Obama qui en fait ne peut supporter un type qui revendique un monde perdu d'avance et en retard d'un siècle. Sarkozy aurait dû vivre au temps des mines à charbon et de la vapeur !


Merci à Bauer



Proposez un échange de lien si votre site traite du cas Sarkozy ! Courriel de Sarkophage

 

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 10:00
Taillé en pièces, dispersé aux quatre coins de la ville façon puzzle. Tel est le sort de l'image de Sarkozy après sa volonté de réformer l'université. D'ailleurs le mot réformé est mal choisi. On veut nous faire croire que Sarkozy est un réformateur.

Certainement pas ! Réformer demande une capacité d'analyse pour transformer et faire évoluer. Sarkozy n'en dispose pas. Il a juste la volonté d'un mixeur couplée avec un transformateur EDF hors de contrôle.

Avec l'intervention du président d'université dans la vidéo ci-dessous il est réduit à un mauvais étudiant qui n'aurait jamais ses partiels. (Rôle qu'il connaît bien puisque ses études révèlent un talent certain pour la médiocrité intellectuelle ... depuis rien n'a changé !)

Ecoutons le démontage en règle de la gesticulite permanente de l'hyperactif inutile.





 

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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 20:59
Il faut parfois écouter les historiens. Ainsi pour comprendre le Sarkozysme, idéologie visqueuse et malodorante s'il en est, faut il s'intéresser à quelques modèles ou contre modèles historiques.

Non que Sarkozy connaisse l'histoire. C'est un petit garçon qui n'a rien retenu de l'école, persuadé que sa naissance et ses relations lui ouvriraient toutes les portes. Enfin il a retenue une chose : la princesse de Clève, c'est chiant !

Merci à Bar

Sarkozy est donc un président amnésique. Ce bonsaï monté sur piles vit dans un monde sans racines, sans accroches. Un monde de dessin animé ou il joue le rôle de Goldorak pour épater la gallerie.

L'historien Emmanuel de Waresquiel le dit mieux que votre fidèle et infatigable serviteur !



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Emmanuel de Waresquiel, 51 ans, est historien et enseigne à l’Ecole pratique des hautes études. Spécialiste du XIXe siècle, il a publié une biographie de Talleyrand : le prince immobile (Fayard, 2003) et travaille aujourd’hui sur un autre grand personnage de l’époque napoléonienne, Joseph Fouché. Il vient de publier Cent Jours : la tentation de l’impossible (Fayard, 2008).

Nicolas Sarkozy est-il un nouveau Bonaparte, comme l’avance Alain Duhamel dans son dernier livre (1) ?

Je ne le crois pas. Il n’est ni un nouveau Bonaparte ni un nouveau Napoléon. C’est un énorme anachronisme, ne serait-ce que parce qu’il n’est heureusement pas arrivé au pouvoir à la suite d’un coup d’Etat. Il n’est pas non plus un fondateur comme a pu l’être le Premier consul. Lorsqu’on regarde l’œuvre de Bonaparte au lendemain de Brumaire, on est impressionné : il signe vingt traités de paix avec l’Europe, conclut un concordat avec l’Eglise, met en chantier le code civil, etc. Il s’agissait alors de terminer la Révolution. Si Nicolas Sarkozy était l’homme d’une telle œuvre, cela se saurait*. Il n’est pas non plus Napoléon. L’empereur s’inscrivait dans la lignée d’Alexandre le Grand ou de Charlemagne. Or, Nicolas Sarkozy est profondément l’homme du présent, d’un présent immédiat aussi fin qu’une feuille de papier à cigarette. Il ne semble avoir, sur le plan symbolique, ni passé ni avenir, et ne se réclame pas d’une continuité historique. Nicolas Sarkozy est un président amnésique, y compris de son propre passé. Lorsqu’il va en Hongrie, il refuse de visiter les lieux de sa mémoire familiale. Là est sans doute la vraie rupture, du point de vue des représentations, si on le compare à ses prédécesseurs. Nicolas Sarkozy ne se projette pas non plus dans l’avenir : il n’est pas, semble-t-il, un président bâtisseur qui souhaiterait laisser sa marque, pour la postérité, dans l’espace parisien ou français. Son encéphalogramme historique est plat. Ses références historiques, leur instrumentalisation politique - le «sombre Moyen Age», le «peuple» régicide, la «lettre de Guy Môquet» - me font penser au lapin qui sort du chapeau. C’est de la prestidigitation, pas de l’histoire. Ses teinturiers, comme on disait au XIXe siècle de ceux qui étaient derrière les écrits d’un autre, ne me semblent pas très à l’aise avec la connaissance de l’histoire.

Merci à  Photo en Délire

Les deux hommes sont des aventuriers de la politique, pas des héritiers…


C’est exact. On peut même ajouter qu’ils sont des parvenus. Napoléon était fasciné par la noblesse, au point de recréer une aristocratie. Talleyrand, son ministre des Relations extérieures, l’avait séduit parce qu’il était un grand seigneur de l’ancienne cour de Versailles, par son style et ses usages. Aujourd’hui, «l’aristocratie des vanités», comme disait Chateaubriand, a changé de position. Le Talleyrand de Sarkozy, c’est Bolloré et son yacht ! Ce qui est également intéressant à observer, c’est qu’ils sont tous les deux des latins en politique, à la fois sanguins et hommes de réseaux. Jamais en France, nous n’avions connu une telle pratique du donnant-donnant.

Une autre thèse court, celle défendue par Jean-Marie Colombani, qui voit en Nicolas Sarkozy, non pas un nouveau Bonaparte, mais «un Américain». Il cite cette phrase de Jérôme Monod, l’ex-conseiller de Jacques Chirac, qui le décrit comme «un immigré hongrois en partance pour l’Amérique qui a posé ses valises à Paris». Qu’en pensez-vous ?

Il a en effet un côté coucou. Bonaparte aussi. Tous les deux ont couvé leurs œufs dans un même nid français, Napoléon Bonaparte était corse, fraîchement français et de culture italienne. Nicolas Sarkozy vit, lui, dans le mythe du rêve américain, y compris dans sa vie privée, en s’inscrivant mentalement dans le modèle fabriqué pour le couple Kennedy. Mais la comparaison s’arrête là. A la fin de son règne, Napoléon avait, comme De Gaulle, véritablement le sentiment «d’être» la France. Bref, la France lui appartenait.

Merci à Bar

Comme Napoléon, Nicolas Sarkozy court-il le risque d’être victime d’un sentiment de toute puissance ?

Dès après son sacre, en 1804, l’empereur n’écoutait plus ce qu’on lui disait. «Que voulez-vous faire d’un homme qui n’a pour toute conversation que celle de monsieur Maret», disait Talleyrand goguenard. Hugues-Bernard Maret, l’homme lige de Napoléon, son ministre secrétaire d’Etat, ne se serait jamais permis la moindre critique à l’égard du «maître». Cela est peut-être arrivé beaucoup plus vite à Nicolas Sarkozy, qui lui aussi semble enfermé dans son propre reflet, Mais, dans le cas présent, ce n’est que psychologique, car de quelle volonté de puissance parle-t-on ? Aujourd’hui, celle-ci a beaucoup de mal à s’exercer dans la réalité des faits. Ceux-ci ont pris la dimension du monde. Nicolas Sarkozy, qui, en l’occurrence, n’y peut rien, est animé de l’obsession de donner à penser que cette volonté existe. Dans le cas de Napoléon, elle agissait vraiment sur le réel. Chez Nicolas Sarkozy, on ne parvient pas à prendre cette volonté au sérieux.**

Merci à Tropical Boy

S’il n’est pas Bonaparte, est-il au moins bonapartiste ?

Je ne le crois pas non plus. Le bonapartisme, ce fut le gaullisme, pas le sarkozysme. Aujourd’hui, nous avons plutôt une droite louis-philipparde, à la manière du dernier Guizot. Le bonapartisme est très différent : il repose sur l’égalité et la gloire. Or, quelle gloire peut revendiquer Nicolas Sarkozy ? Cette nostalgie de la gloire était beaucoup plus présente chez Jacques Chirac ou chez Dominique de Villepin. Chez Nicolas Sarkozy, il n’y a aucune nostalgie. Il me fait penser à ce que Talleyrand disait à son bibliothécaire Fercoq à la fin de sa vie : «Dans la vie, voyez-vous, il y a trois formes de savoirs : le savoir tout court, le savoir-faire et le savoir vivre. Et il ajoutait finement : le seul qui compte au fond, c’est le savoir vivre.» Je crains que Nicolas Sarkozy ne possède que le savoir-faire.

 

Merci à Large


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* Sarkozy c'est une oeuvre unique qui se résume en quelques mots passés à la postérité : Casse toi pauv' con !
** Traduction : c'est un guignol de première qui se prend vraiment trop au sérieux !

Merci au journal Libération pour l'entrevue avec ce brillant chercheur non dénué d'humour et d'intelligence. Tout sauf Sarko compatible le pauvre !



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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 21:14
Jean François Probst, grand connaisseur de la tambouille à droite, poursuit son analyse du Sarkozysme et de ses échecs et catastrophes.

Avertissement aux Sarkolatres égarés ici : il faut regarder ces images après avis médical pour éviter tout accident cardiaque.

Et pour ceux qui veulent visionner le premier opus c'est ici : Selon un spécialiste Sarkozy est complètement à la ramasse.





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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 20:59
Il faut écouter les spécialistes parler du cas Sarkozy. C'est instructif. Cela veut dire (surtout quand on est Sarkozyste) qu'on apprend quelque chose.

Ecoutez Jean François Probst nous parler de la catastrophe Sarkozy.






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11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 14:15
Sarkozy n'a plus que le vacarme savament orchestré pour faire oublier l'échec qu'il resprésente. Déjà nul quand il officiait au gouvernement (que ce soit 1993-1995 au budget ou plus tard avec le ministère de l'insécurité), il l'est encore plus quand il occupe le trône de roi des veaux.

Merci à Maester

Il faut qu'il repose les pieds sur terre, comme dirait Villepin, dans un éclair de lucidité. Quoi de mieux qu'une mamie bien de chez nous et surtout bien décidée à lui dire ses quatre vérités !

 




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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 17:50
Il n'y a pas à dire, le poète Villepin en a dans la culotte et dans le cailloux. Celui qui doit payer pour avoir peut-être monté un coup tordu contre le mini président maxi touriste fainéant, se fait du bien en s'essuyant les pieds et la langue sur Sarkozy. On a les plaisirs qu'on peut en temps de crise et de justice aux ordres !

Merci à Bar

Morceaux choisis à déguster sans modération et faire circuler avec célérité et promptitude caractérisées :

 

Merci à  Photo en Délire



Dominique de Villepin continue de dézinguer Nicolas Sarkozy. La dernière fois, c’était le 18 décembre. Aujourd’hui, il remet ça. Sur LCI et dans le Parisien/Aujourd’hui en France. C’est le double effet Villepin.

En gros, il accuse le chef de l’Etat de s’éparpiller, limite de brasser du vent. Il pense que son comportement relève plus de «l’hyper activité» que de «l’hyper efficacité»…




Autre Scud de Villepin: il faut «un Président capable de hiérarchiser les problèmes et de se consacrer à l’essentiel, pas un Président touche à tout, pas un Président qui ne répond pas aux questions des Français, pas plus d’ailleurs que des journalistes». «Il ne suffit pas de passer d’un sujet à l’autre»

Conseil de l’ex-premier ministre à Sarko: redescendre sur terre, en reprenant «contact avec la réalité nationale». Au passage, Villepin décrypte la stratégie de com’ de Sarkozy, expliquant que le Président devrait se rendre «compte qu’il ne suffit pas de passer d’un sujet à l’autre, d’une image à l’autre, qu’il ne suffit pas de regarder la superficie des choses et qu’il faut traiter les questions en profondeur».


Selon Dominique de Villepin, «la multiplication des réformes» engagées, «ne sont pas de nécessité immédiate, comme la réforme de la justice et de l’audiovisuel». Ne voulant pas juger la réforme de la justice «à l’aune de (sa) propre expérience» dans l’affaire Clearstream, Villepin souligne toutefois que si l’on remplaçait le juge d’instruction par un juge de l’instruction, comme le souhaite le chef de l’Etat, il fallait «un parquet indépendant».

Il met carrément en garde contre un risque de «régression des libertés publiques» estimant qu’«il y a un danger à vouloir museler l’opinion dans cette période» de crise.


Crochet du gauche, crochet du droit. Villepin attaque de tous côtés, avec également un entretien au vitriol dans le Parisien/Aujourd’hui en France. La politique de relance ? «Les effets risquent d’être trop lents, d’avoir peu d’incidence sur l’emploi et au bout du compte de n’être pas utiles pour notre économie !». «Si l’on vise un effet rapide, privilégions le logement qui emploie beaucoup de main d’oeuvre. Si on veut des réformes de fonds, investissons dans l’innovation qui permet de préparer l’avenir», ajoute l’ex-premier ministre.

Dominique de Villepin continue sur le thème de la gesticulation sarkozienne. Craignant que «la confusion et la division (…) épuisent nos forces», il estime qu’«aujourd’hui on est dans la réforme tous azimuts, mais surtout dans la dispersion de l’effort».

Merci à Bar

Il ajoute: «Nous sommes un pays à faible consensus social», et «nous supportons le fardeau d’initiatives idéologiques, l’une de gauche et l’autre de droite: les 35 heures, qui coûtent au budget plus de 20 milliards d’euros par an, et les 15 milliards du paquet fiscal». Et pan sur le bec. Sarkozy est habillé pour l’hiver, version double couche.

 

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 20:25

Cela va devenir quotidien. Non Sarkophage ne parle pas des réussites de Sarkozy. Mot qui lui est inconnu et qu'il n'apprendra sans doute jamais (cela a commencé à l'école avec des résultats très moyens, heureusement que maman et papa avaient de l'argent, hein !).


Sarkophage veut parler des dirigeants étrangers qui n'en peuvent plus du mini président français.

 

 

Ils l'ont découvert petit buveur, ils l'ont toléré grand ami du crétin en train de faire ses valises, ils ne supportent plus en sauveur du monde autoproclamé. I

 

Merci à Tropical Boy

 

 

l leur fait penser à un gamin qui n'arrête pas de dire qu'il pisse plus loin que les autres.

 

Merci à  Photo en Délire


Après les moqueries de Medvedev, après Chavez qui le prend très clairement pour un imbécile, après Merkel qui le traite comme un gamin avide de babioles qui brillent, voici Vaclav Havel, ancien président Tchèque, qui lui reproche de parler et ensuite de réfléchir.

Merci à Large


Morceaux choisis :

 

"Il m'a fait penser à Edouard Daladier, la chef du gouvernement français qui signa les accords de Munich de 1938", a lancé Vaclav Havel dans une nouvelle pique contre le président français, sans préciser le sens de sa comparaison. Les accords de Munich, signés en septembre 1938 par les dirigeants français, britannique, italien et allemand, ont renforcé la politique expansionniste de l'Allemagne, laissant Hitler annexer le territoire des Sudètes.

 


"Je ne le connais pas personnellement, mais j'ai noté que Sarkozy avait tendance à avoir la parole plus rapide que la pensée", a-t-il dit dans une interview accordée samedi 22 novembre au quotidien La Stampa. Le chef de file de la "révolution de velours" anticommuniste a précisé que le chef de l'Etat français avait d'ailleurs "fait un pas en arrière par rapport à ses malheureuses déclarations de Nice".

 

Merci à  Photo en Délire

 


A ce rythme il ne sera plus invité que chez son ami Kadhafi et moqué à chacune de ses paroles, par des camarades qui exercent des fonctions pour lesquels ils ont une certaine envergure.

Merci à Phil


Prochainement Sarkophage vous parlera d'un autre homme politique étranger qui se sera essuyé les pieds, à raison, sur notre mini président !

 

Merci à Laurent

 

 

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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 18:04
C'est vrai, c'est facile de se payer la tronche de Nicolas Sarkozy, atteint de judiciarite aigue. Mais quand même, il ne faut pas bouder son plaisir. Surtout quand c'est Chavez qui se tape Sarkozy, entre la poire et le dessert.

Merci à Laurent

Chavez n'est pas le dernier à savoir récupérer les situations et exploiter les affaires. Il l'a déjà souvent montré. Et même si il n'a pas été pour grand chose dans le versement de la rançon pour la libération de Bettancourt, il a quand même surtirer parti des vacances dans la jungle de l'ex future prix nobel de la paix et béatitude heureuse version simplette.

Maintenant qu'il peut allègrement se faire le caniche de Bush, il ne se prive pas. Extraits savoureux de ses déclarations gourmandes sur le cas Sarkozy :

«Sarkozy, tu es en train de te rapprocher du socialisme, bienvenu au club, ce sont des idées intéressantes», a lancé le Président vénézuélien, se référant aux positions défendues par Nicolas Sarkozy pour surmonter la crise.

Merci à Lobo


Nicolas Sarkozy "a déclaré que si on ne refondait pas le système capitaliste, il y aurait une révolution à l'échelle planétaire. Eh bien, Sarkozy, ici en Amérique latine une révolution s'est déjà produite il y a un certain temps", a encore déclaré Hugo Chavez qui avait rencontré son homologue français au cours d'une visite officielle à Paris fin septembre.


Merci à Bar

Dans sa démarche Chavez ne fait que rejoindre une ribambelle d'hommes et de femmes d'état qui ont compris qu'ils pouvaient facilement se payer la tête du nouveau grand timonier de la soviétisation accélérée.

Merci à The Blog Corp

Il faudrait demander une participation financière à chaque fois que Sarkozy fait rire de lui.
Merci à Delucq

Le déficit de la France serait ainsi vite comblé !

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